C’est en janvier 2017 que la cellule anti radicalisation de la cour d’appel d’Aix-en-Provence est prévenue de l’existence d’un compte Facebook dont les contenus publiés tombent sous le coup de la loi. Sous le pseudonyme d’Amiro Amiro, un utilisateur du réseau social postait depuis le mois précédent des vidéos de propagande de l’État Islamique.