Le nombre de viols commis par des demandeurs d’asile est en augmentation.
Six jeunes Afghans auraient violé une étudiante de 15 ans à Munich. Tout comme le viol collectif commis par au moins huit hommes à Fribourg, dont sept Syriens, l’incident de Munich n’est connu que maintenant, après plusieurs semaines.
Mais pourquoi si tard?
Est-ce que quelque chose doit rester secret?
Les enquêtes s’avèrent fastidieuses à cause des difficultés linguistiques.
Cinq Afghans présumés, âgés de 20 à 25 ans sont actuellement en détention. Un sixième encore recherché, selon la police de Munich.
Il y a environ quatre semaines, des demandeurs d’asile reconnus auraient agressé sexuellement des jeunes de 15 ans, sur plusieurs jours et dans plusieurs appartements. Mais pourquoi at-il fallu si longtemps pour que l’affaire soit rendue publique?
Le journaliste de RTL, Kyrill Ring, a interviewé le criminologue Christian Pfeiffer. Et que dit l’expert?
“Toutes les infractions liées aux gangs nécessitent beaucoup plus d’efforts, en particulier lorsqu’il s’agit de suspects étrangers pour lesquels vous ne comprenez pas la langue immédiatement, pour lesquels vous avez besoin d’interprètes, pour lesquels vous devez également explorer les réseaux, lorsque vous soupçonnez que quelque chose est délibérément dissimulé.”
” faux, la politique n’interfère pas “, a déclaré Pfeiffer.
(NOTA: En réf. à l’allusion “Est-ce que quelque chose doit rester secret?”)
Pour ce qui est du viol de masse à Fribourg, il a fallu deux semaines, jusqu’à ce que les faits soient rendus publics.
Les experts notent que le phénomène du viol collectif par des demandeurs d’asile en Allemagne est en augmentation.
Viols collectifs:
Arnold Plickert, expert en matière de sécurité: “Nous ne connaissions pas ces crimes de groupe avant 2015, qui sont arrivés ici avec la vague de réfugiés et en grande partie, perpétrés ici, par des hommes arabes, de par leur culture”
Dans le cas de Munich, les faits évoqués sont encore minces, même des semaines plus tard. C’est une déclaration contre une déclaration. Le principal responsable affirme que le sexe était consensuel.