À l’heure d’évoquer le mobile, le parquet de Besançon le confirmait: le contexte de trafic de stupéfiants a pesé dans ce crime. Selon le substitut du procureur, un nouveau point de deal venait d’être installé dans l’immeuble où s’est noué le drame. À deux pas d’un autre point de vente, bien connu des forces de l’ordre celui-là, installé rue de Picardie.
La victime était identifiée par la police comme liée au milieu de la drogue. Sur place, mardi, les riverains le désignaient même comme un ‘‘charbonneur’’ (N.D.L.R. : un revendeur de drogue). Dès lors, plusieurs scénarios sont imaginables. Notamment celui d’un règlement de compte ou celui, selon une rumeur qui circule actuellement à Planoise, d’un geste meurtrier commis par un client à la dérive.