Les Gilets Jaunes recueillent 66% de popularité, le plus haut score enregistré par Opinion Way, et ce malgré les violences des Champs Elysées du 24 novembre dont le Premier Ministre Christophe Castaner avait fait porter la responsabilité à l’Ultra Droite.
78% des Français réclament l’annulation des taxes sur le carburant :
Réactions de Gilets Jaunes aux mesures écologiques d’Emmanuel Macron : « C’est encore une excuse pour nous taxer. (…) Il est en train de nous endormir mais alors bien comme il faut ! (…) Il parle que que que d’environnement. Il parle pas des retraites, du SMIC, de rien ! (…) C’est clair que quand les gens vont crever de faim, seront sans voiture ni chauffage, là ils ne généreront pas de CO² ! »
Réactions de Gilets Jaunes au discours de Macron : « Macron n’a rien compris ! »
⚡🇫🇷FLASH – "Enfilez votre plus beau gilet jaune fourni par l'administration ! Prenez-vous en photo devant un véhicule ou un bâtiment police". Un collectif issu du mouvement des "#policiers en colère" appelle les agents à revêtir un gilet jaune. (BFMTV) https://t.co/RkYNKlGaUD pic.twitter.com/ZYrtgOMSVh
— Brèves de presse (@Brevesdepresse) November 26, 2018
"Une semaine en jaune" Aujourd'hui, Michel Onfray lit le texte que lui a inspiré la première semaine d'action des #GiletsJaunes, beaucoup plus digne et massive que le pouvoir, et ses alliés, voudraient nous faire croire. La vidéo est ici: https://t.co/5xqxKnGu5K pic.twitter.com/IyfwtVhCzP
— Michel Onfray TV (@MichelOnfrayTv) November 26, 2018
Voici le vrai visage des casseurs, des castagneurs, qui salissent le mouvement des #GiletsJaunes. pic.twitter.com/arRKDG6UbL
— Gilbert Collard (@GilbertCollard) November 26, 2018
On en sait plus sur le profil des casseurs. Contrairement à ce que disait Christophe Castaner samedi 24 novembre, le profil des 101 personnes interpellées à Paris est bien disparate.
Une immense majorité des manifestants placés en garde à vue sont considérés comme des “suiveurs”. Entendez par là des hommes et des femmes venus de régions et sans antécédent judiciaire, qui se sont laissés griser par des leaders plus radicaux.
Surtout, les leaders en question appartiendraient en réalité à l’ultragauche, et non à l’ultradroite, rapporte RTL. Ils arboraient plusieurs signes « distinctifs » de l’ultragauche repérés lors de leur interpellation.
Des profils à premier vue assez loin donc de la “peste brune” dénoncée par Gérald Darmanin.
25/11/18
"Il faut absolument entendre que l'on ne va rien lâcher. On vient nous voler dans nos poches l'argent qu'il nous reste pour nous nourrir. C'est le message que je veux faire passer. On a plus grand chose pour vivre." Ingrid Levavasseur, gilet jaune, s'exprime dans #CPolitique pic.twitter.com/8WPieaU9gg
— C Politique (@CPolF5) November 25, 2018
"Les forces de l'ordre on laissé faire les casseurs hier sur les Champs Elysées et on m'a bien fait comprendre que les décisions venaient d'en haut" Priscillia Ludosky, figure des gilets jaunes dans #CPolitique pic.twitter.com/XCUBIPIQHe
— C Politique (@CPolF5) November 25, 2018
Une manifestante Gilets Jaunes d’Orange (Vaucluse) : «Macron n’a plus sa place, on veut qu’il démissionne !». Une autre : «M. Macron, il fait quoi? Ça fait une semaine ! Il est pas foutu de venir parler à la population? C’est ça un président?»
Un spectateur crie « MACRON DÉMISSION ! » en pleine finale de Coupe Davis entre Lucas Pouille et Marin Cilic.
– BeINSports 3
Gilets Jaunes : aucun activiste d’extrême-droite parmi les 130 interpellés du 24 novembre
24/11/18
Un Gilet Jaune à Macron : «Fais gaffe. Arrête de prendre les gens pour des andouilles (…) Patience et longueur de temps font plus que force et que rage, alors on sera patients Macron, mais tu sortiras.»
Philippe Herlin (économiste) : «Les taxes et impôts atteignent un niveau insupportable. La réponse du gouvernement tombe à côté de la plaque en proposant des aides alors que les Gilets Jaunes veulent gagner leur vie à la sueur de leur front. Ils veulent une baisse des taxes et des impôts.»
– CNEWS, 21h47
Montpellier : Un automobiliste cherche à écraser des Gilets Jaunes répétitivement. Quatre blessés.
Tous les Gilet Jaunes interrogés hier aux Champs Elysees par la journaliste de CNEWS ont dit qu’ils n’attendent qu’une chose : La démission d’Emmanuel Macron.
Violences à Paris : De nombreux symboles et tags d’extrême-gauche ont été aperçus sur les Champs-Élysées. Castaner accuse l’ “ultra-droite”.
Les #GiletsJaunes ramassent ce que les casseurs ont fait aux #ChampsElysees le #24Novembre pic.twitter.com/uZhpAKb2a4
— En Cause (@EnCausee) November 24, 2018
La Marseillaise, avenue des Champs-Elysées #giletsjaunes pic.twitter.com/smE55UzPQM
— Édouard de Mareschal (@edemareschal) November 24, 2018
URGENT : PARIS #24Novembre – Tensions en cours dans la rue de l’Elysée. Un groupe de #GiletsJaunes à réussi à s’approche 100m du Palais de l’Elysée. pic.twitter.com/s2qILOdW16
— Clément Lanot (@ClementLanot) November 24, 2018
Une partie des #GiletsJaunes quitte les Champs Élysées, via la rue Marbeuf, à Paris, pour aller ‘’en direction de l’Assemblée et du Sénat’’ où un très important dispositif de sécurité est en place. ‘’Quitte à se faire gazer, allons chercher le pouvoir’’ scande l’une d’entre eux. pic.twitter.com/Awnpuc7E2P
— Felicia Sideris (@felicia_sidx) November 24, 2018
#GiletsJaunes Céline et Mélina sont venus d'Auxerre en train pour manifester leur ras le bol. "On n'en peut plus de devoir faire crédit le 15 du mois", clament ces mères de 5 et 3 enfants. pic.twitter.com/1reKUgWJTE
— Eric de LA CHESNAIS (@plumedeschamps) November 24, 2018
🔴 EN DIRECT – Yves Lefebre (SGP FO) accuse la mairie de Paris d’avoir laissé du mobilier de chantier propice aux casseurs, qui sont selon lui pour une grande majorité des black-blocks : militants d’extrême-gauche contre qui le gouvernement ne fait rien. #24Novembre pic.twitter.com/D5YN0RtN56
— Avec Marine (@avec_marine) November 24, 2018
#GilestJaunes Près de l #arcdetriomphe un ex #mili, ex casque bleu au #Liban, venu avec son béret et ses décorations.. « Je défends mon pays et tous ceux qui n’y arrivent plus ». #ITW vidéo pic.twitter.com/hBI18tAMbv
— Frederic Helbert (@FredericHelbert) November 24, 2018
La population a clairement changé : des hommes en groupe et jeunes ont remplacé les familles et les retraités, ici, à l'étoile. Nul ne sait où aller. Pendant ce temps, déflagrations plus bas sur les champs. #Giletsjaunes
— Wladimir Garcin-Berson (@vladogb) November 24, 2018
Un peu plus de 8000 gilets jaunes sont réunis ce samedi midi à Paris pour une nouvelle journée de mobilisation. Parmi eux, 5000 sont recensés sur les Champs-Elysées. (BFMTV)
#GiletsJaunes aux #ChampsElysées : la situation a très vite dégénéré ce matin.
Les détails dans #LE13H de @ACCoudray sur @TF1 #24Novembre pic.twitter.com/VuckbkAGlv— TF1LeJT (@TF1LeJT) November 24, 2018
#Paris #Giletsjaunes #24novembre2018 des centaines de manifestants sur les #ChampsÉlysées très violents affrontements à deux pas de l'#Elysée #Gilets #24novembre pic.twitter.com/VELXEPYZbL
— LINE PRESS (@LinePress) November 24, 2018
Pas de saccages dans l'ensemble même si quelques dégradations ici et là pour monter des barrières. Et une relation ambivalente avec les forces de l'ordre, entre "la police, avec nous" et jets de projectile. pic.twitter.com/ldnygPaCkd
— Ghislain de Violet (@gdeviolet) November 24, 2018
— Super Zappeur (@superzappeur) November 24, 2018
Nouvelle barricade devant le McDonald’s. La manif est vraiment divisée en deux entre une partie pacifique qui recule et lautre prête à en découdre, équipée et motivée #Giletsjaunes pic.twitter.com/d37Agm0Fvl
— Wladimir Garcin-Berson (@vladogb) November 24, 2018
Tout juste arrivés au Sénat, les forces de l’ordre balancent des bombes lacrymogènes. Les manifestants repartent direction boulevard saint germain. #24novembre pic.twitter.com/Vts18awMbS
— Celia Heudebourg (@CHeudebourg) November 24, 2018
DIRECT 🇫🇷 Gilets Jaunes / Paris :
►Situation extrêmement tendue sur les Champs-Élysées
►Des manifestants font des barricades et utilisent des mortiers d'artifices ainsi que des pavés contre les forces de l'ordre (images @LinePress)
Suivez notre direct ➡ https://t.co/AXjKUE4mpp pic.twitter.com/en3BAtfhDv— Actu17 (@Actu17) November 24, 2018
#GiletsJaunes #24novembre à #Paris : les gilets jaunes montent des barricades pour assurer leurs arrières. pic.twitter.com/qYUciKdul8
— simon louvet (@LouvetSimon) November 24, 2018
#GiletsJaunes #24Novembre
La grosse #manipulation de @ccastaner qui dénonce les séditieux de l'#ultradroite répondant à l'appel de @MLP_officiel …
Honteux !!! pic.twitter.com/CwMG12LLxJ— Marc Herstalle (@herstalle) November 24, 2018
BFM annonce 3000 personnes sur les Champs-Elysées.
"Ridicule", répond Aude Lancelin.#24novembre— Le Média (@LeMediaTV) November 24, 2018
« On est chez nous ! » pic.twitter.com/0VVXIGuIZW
— Hugo Domenach (@Hugoslav) November 24, 2018
Il pleut des lacrymos pic.twitter.com/TDI5WqcyjC
— Hugo Domenach (@Hugoslav) November 24, 2018
🔴 EN DIRECT – « Ma seule arme, c’est mon gilet jaune » crie cette manifestante sur les Champs-Élysées. #24novembre #giletsjaunes
➡ https://t.co/Vvr2hcTGyR pic.twitter.com/UI22JPnYtO
— Le Figaro (@Le_Figaro) November 24, 2018
#Paris #Giletsjaunes #24novembre2018 des centaines de manifestants sur les #ChampsÉlysées affrontements #Gilets #24novembre pic.twitter.com/BaSIbhu2Ge
— LINE PRESS (@LinePress) November 24, 2018
#Paris #Giletsjaunes #24novembre2018 des centaines de manifestants sur les #ChampsÉlysées forte tension. #Gilets #24novembre pic.twitter.com/uk20aGK6Fr
— LINE PRESS (@LinePress) November 24, 2018
EN DIRECT – Après une semaine de protestations à travers le pays, les “gilets jaunes”, opposés à la hausse des taxes sur les carburants, mènent samedi “l’acte 2” de leur mobilisation, notamment à Paris.
#DIRECT – #24Novembre : Début de blocage des #GiletsJaunes à Étoile.
« Macron démission » pic.twitter.com/EN8JHPJCcF
— Remy Buisine (@RemyBuisine) November 24, 2018
🔴 EN DIRECT – #Paris : Les #GilestJaunes convergent vers les #ChampsÉlysées, des #blackblocs et des #antifas pourraient s'être infiltrés dans la manifestation." (Vidéo: @LinePress) #24novembre #GiletsJaunes #giletsjaunes #gilet #gilets #manifestation pic.twitter.com/8y3i0vwgD5
— FranceNews24 (@FranceNews24) November 24, 2018
Sur les Champs-Elysées, les forces de l’ordre ont du faire l’usage de gazs lacrymogène et de lanceur d’eau pour faire reculer les manifestants. Une première interpellation a eu lieu, a appris franceinfo par la préfecture de Paris.
Des blocages en cours. Samedi matin, des barrages, des opérations de péage gratuit ou encore divers rassemblements se formaient dans de nombreuses régions. D’après des journalistes sur place, les départements de la Seine-Maritime, l’Eure, le Calvados, la Somme, le Nord, la Gironde, la Haute-Garonne, l’Ariège ou encore le Lot sont concernés.