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Deux rapports de l’OCDE soulignent le poids des impôts dans le PIB en France, numéro un parmi les pays membres de l’OCDE avec un taux de 46,2%. Les cotisations sociales et l’impôt sur la propriété pèsent particulièrement dans l’Hexagone, à l’inverse des impôts sur le revenu et sur les bénéfices des entreprises.

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En 2017, les impôts représentaient en France 46,2% du PIB. C’est beaucoup plus que la moyenne de l’OCDE, limitée à 34,2%, ou même qu’en Allemagne où ce ratio ressort à 37,5%. C’est aussi dans l’Hexagone que les impôts ont le plus progressé depuis 2000. Ils ne représentaient alors que 43,4% du PIB.

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Poids des contributions sociales

Dans la palette fiscale, les cotisations sociales figurent désormais en haut du podium avec 26% des recettes. C’est d’ailleurs leur poids, particulièrement important dans l’Hexagone (36,8% des revenus fiscaux) et celui des impôts sur la propriété (9,4% contre 5,7% pour la moyenne de l’OCDE) qui propulsent la France en haut du tableau.

Le Figaro


Pression fiscale record dans l’OCDE en 2017, la France en tête

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Il s’agit du chiffre le plus élevé enregistré depuis que l’organisation basée à Paris a commencé à compiler ces données fiscales en 1965.

Selon le rapport de l’OCDE, la France, avec un taux de prélèvements atteignant 46,2% du PIB en 2017 (+0,7 point par rapport à 2016), a ravi la première place au Danemark, où la pression fiscale s’est élevée à 46,0% l’an dernier (-0,2 point par rapport à 2016). Suit la Belgique, avec un ratio de 44,6% en 2017 (+0,5 point).

Reuters

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