En déplacement samedi après-midi à Bruxelles, la présidente du Rassemblement national a fustigé un texte qui transformerait le monde en «un gigantesque squat».
A ses yeux, le texte aura pour conséquence de «transformer en agence de voyages nos consulats et nos douaniers en hôtesse d’accueil». Elle a brandi la menace de voir le monde se transformer «en un gigantesque squat» et de faire «de nos pays des halls de gare, des terrains vagues».
[…] [Les participants] ont, à tour de rôle, salué les pays qui ont refusé d’approuver le document, notamment les Etats-Unis, l’Autriche, la Suisse, la Hongrie, l’Italie, la Pologne, la République tchèque, etc. Comme elle le fait depuis des semaines, Marine Le Pen a dénoncé «le pacte de la submersion mondiale», «un texte insensé qui vise à protéger 225 millions de migrants», «un pacte avec le diable». […]
Bien sûr, en toile de fond, il a été question des gilets jaunes et des troubles supplémentaires qu’à ses yeux suscitera en France le texte qu’Emmanuel Macron a choisi d’avaliser. Ainsi, la présidente du Rassemblement national s’est interrogée : «Qui va payer? […]
Merci à Marcel Cendan