‘C’est incroyable ce que les demandeurs d’asile font à nos filles!’
Sur le banc de la fenêtre de la jeune fille de 16 ans se trouve une rose blanche. Trois bougies tombales sont à côté. Pas de père Noël. C’est la fenêtre par laquelle son meurtrier – le demandeur d’asile afghan Saber A. âgé de 17 ans – s’est enfui quelques jours plus tôt, après avoir anéanti la vie de Michelle avec deux coups de couteau dans le dos.
Un homme entreprend une promenade avec son petit chien. ‘C’est incroyable ce qu’ils font à nos filles’, dit-il soudainement dans ma direction. Je commence à lui parler.
‘Nos filles sont tellement stupides. Encore et encore, elles s’impliquent pour ces demandeurs d’asile. Je n’ai absolument aucune compréhension et ma compassion est limitée.
Une arche plus loin se trouve une taverne. À l’heure du déjeuner, elle est déjà bien remplie. Environ 20 personnes se tiennent autour du bar et boivent. Les tables, par contre, sont toutes vides. Je suis immédiatement reconnu comme un étranger et l’hôte sympathique commence à me parler. Immédiatement, nous abordons le sujet qui contrôle Steyr: le meurtre de Michelle.
‘Pour ces demandeurs d’asile, la vie de nos filles vaut moins que celle d’une chèvre’, note-t-il. Je lui demande si de nombreux demandeurs d’asile sont ici et il me dit que l’ancienne auberge ‘Maradonna’ a été transformée en foyer de réfugiés.
‘Le SPÖ le voulait ainsi! À l’époque, nous avons tous protesté, mais il n’y avait rien à faire. Cela a ensuite immédiatement généré des problèmes. Ils ont tout de suite pénétré dans mon jardin. Mais ensuite, ils ont compris qu’il n’y avait pas grand chose à faire ici dans la région. Alors, ils semblent avoir décidé de prendre les filles. ‘
Et puis il poursuit dans la même direction que l’homme accompagné de son chien auparavant: ‘Les filles sont toutes à blâmer!’, Il montre la fenêtre et explique: ‘Il y a un jardin d’enfants à l’arrière, juste en face du foyer d’asile. Là-bas elles rencontrent toujours les Afghans et les Syriens du foyer ‘.
Il nous raconte que la police cible déjà la place de jeux, car on y consommerait également de la drogue. De plus, les rapports sexuels entre les filles et les demandeurs d’asile seraient fréquents.
Et cela si fort et intensément que les voisins se plaindraient encore et encore. ‘Bien sûr, ce sont des jeunes hommes. Ils le veulent bien sûr ‘, note le propriétaire.
