Yaël Goosz (France Inter) : «Il y a eu un tournant pour Emmanuel Macron au Puy-en-Velay quand la préfecture avait été incendiée et que le lendemain il va sur place. Ça se passe très mal au moment où il part, on voit des gens l’insulter et courir derrière la voiture présidentielle. Là, il a mesuré d’un seul coup physiquement le niveau de rejet et de haine qu’il pouvait provoquer dans la population (…) Là il a vu le tournant, et il a vu forcément ces potences, ces effigies de Président brûlées sur les ronds-points. Là ça marque, forcément.»
– LCI, 25 décembre 2018, 18h17
(Vidéo L’Obs)
Judith Waintraub : «Un élément que nous n’avons pas envisagé est qu’Emmanuel Macron se cache pour des raisons de sécurité parce qu’on sait très bien que s’il est quelque part, étant donné la mobilité et le caractère incontrôlable du mouvement des Gilets Jaunes, on peut avoir des manifs qui s’invitent devant son lieu de résidence. Et ne serait-ce que pour ça, c’est un danger.»
– 18h14
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— 24h Pujadas (@24hPujadas) 25 décembre 2018