17/01/2018
La justice italienne enquête actuellement sur des faits odieux commis en 2017 dont une Belge de 32 ans a été victime. D’après les premiers éléments de l’enquête, la jeune femme a été enlevée à Sanremo par six Tunisiens qui l’ont utilisée comme esclave sexuelle pendant deux mois.
Ils ont constamment mené la garde afin de s’assurer que la jeune femme, réduite à l’état d’esclave sexuelle, ne s’échappe pas. Mais le supplice de la trentenaire ne s’est pas arrêté là. Les Tunisiens, qui ont vu en leur victime une source de revenus, ont laissé d’autres hommes la violer contre rémunération. Le calvaire de la victime aurait duré environ deux mois, après quoi elle a finalement été libérée par ses ravisseurs.
Six Tunisiens, âgés de 23 à 50 ans sont officiellement accusés de violences sexuelles en groupe, d’enlèvements, d’exploitation et de proxénétisme. Comme l’expliquent les médias italiens, les six hommes l’auraient maltraitée après l’avoir séquestrée et l’auraient également obligée à se prostituer en janvier et février 2017.
[…]Qui était cette dame ? Comment a-t-elle pu être séquestrée pendant deux mois sans qu’on ne la retrouve. Autant de questions qui n’ont toujours pas été élucidées jusqu’à présent.
La police refuse pour l’instant de donner plus de détails quant à cette sordide histoire.
14/01/2018
C’est un véritable calvaire qu’a vécu une jeune Belge de 32 ans en début d’année dernière à Sanremo, en Italie. Pendant les mois de janvier et février, cette jeune dame qui vit sur la Côte d’Azur a été violée par six hommes
C’est le journal « Imperia News » qui a révélé l’info en début de semaine.
Six Tunisiens, âgés de 23 à 50 ans sont officiellement accusés de violences sexuelles en groupe, d’enlèvements, d’exploitation et de proxénétisme.
Six Tunisiens âgés de 23 à 50 ans sont accusés de violences sexuelles en groupe, d’enlèvement, d’exploitation et d’aide à la prostitution.
La femme sera entendue le 25 janvier par le juge d’instruction. Selon la femme, celle-ci aurait été attachée au lit et violée par les Tunisiens et certains «clients» , moyennant des frais. La femme, qui était entrée en contact avec des Nord-Africains pour acheter de la drogue, a été libérée après deux mois de harcèlement.
(Merci à PierreBXL)