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Marine Le Pen a rappelé que son parti et celui de Jean-Luc Mélenchon avaient représenté ensemble, au premier tour de ce scrutin, « plus de 40 % de l’électorat »…

Une convergence « est impossible sur la question des migrations et sur le fondamentalisme religieux. Sur ce plan, nous sommes aux antipodes », a souligné Marine Le Pen. Mais « pour le reste, oui, une convergence existe », a-t-elle ajouté, citant le référendum d’initiative citoyenne, la nationalisation des autoroutes, l’opposition aux accords de libre-échange et au projet de loi sur les infox ou fausses nouvelles.

Si la finaliste de la présidentielle en 2017 a rappelé que son parti et celui de Jean-Luc Mélenchon avaient représenté ensemble, au premier tour de ce scrutin, « plus de 40 % de l’électorat », elle a déploré n’avoir ensemble « que 25 députés sur 577 à l’Assemblée nationale ».

La présidente du Rassemblement national a, de nouveau, dénoncé le nouveau traité franco-allemand que Paris et Berlin doivent signer mardi, estimant que « converger autant avec l’Allemagne est un abandon de souveraineté, une trahison ». En matière d’immigration, la France n’a « pas besoin d’un mur », a ajouté Marine Le Pen. Cette idée « n’a selon moi pas sa place », a-t-elle expliqué, plaidant pour la « fermeté » et la « dissuasion ».

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