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La police des polices et le Syndicat des cadres de la sécurité intérieure nient fermement. Et les symptômes de Raquel Garrido, avocate et chroniqueuse proche de la France Insoumise, sont compatibles avec ceux du gaz lacrymogène autorisé.

Au lendemain de la manifestation des “gilets jaunes” à Paris, Raquel Garrido se “réveille doucement d’une nuit horrible.” L’avocate et chroniqueuse proche de la France Insoumise, s’interroge sur Facebook, dimanche 10 février, sur le gaz lacrymogène “d’une puissance particulièrement forte”auquel elle dit avoir été exposée la veille.

Sur Twitter, elle ajoute : “Selon mon médecin, cela ressemble un empoisonnement à l’acide cyanhydrique.” Et réclame au ministère de l’Intérieur la publication de la composition du gaz utilisé par les forces de l’ordre. “Je comprendrais qu’on ne publie pas ces informations si c’était une arme de guerre ou s’il y avait un intérêt de secret-défense, explique-t-elle à franceinfo. Mais là, c’est contre les Français qu’elle est utilisée donc on doit quand même consentir à son utilisation.”

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Christophe Rouget, secrétaire général adjoint du Syndicat des cadres de la sécurité intérieure (SCSI), assure aussi que la police n’emploie que du chlorobenzylidène malonitrile. “Sous-entendre que le gaz utilisé est le même que celui utilisé par les nazis jette l’opprobre sur les forces de l’ordre”, ajoute-t-il. Les grenades, et le gaz contenu à l’intérieur, sont livrés en“produit fini” aux forces de l’ordre, précise-t-il encore. “On ne peut absolument pas intervenir et modifier quoi que ce soit a posteriori.”

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France Info 

 

 

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