Car il y a la question environnementale : chaque nouvel individu est, surtout dans notre société d’hyper-consommation, un émetteur de CO2 de plus, un mangeur de viande de plus, un producteur de déchets de plus… Bref, un clou supplémentaire dans le cercueil de la planète Terre.
Son essai, “Permis de procréer” (éditions Albin Michel), en appelle à une “politique dénataliste mondiale“. A l’échelon français, il soutient la création d’un “contrat de parentalité”, qui limiterait la maltraitance infantile. Au niveau international, il défend l’organisation d’un “marché mondial des droits à procréer”.[…]