A Marseille, une étudiante en deuxième année aux Beaux-Arts affiche dans la rue des sculptures de vulves. Son but : dénoncer le tabou et la méconnaissance du sexe féminin.
Interviewée par Konbini, la jeune femme explique : “C’est important parce que d’une, la représentation des organes sexuels dits femelles dans l’espace public manque, comparé à celles des organes sexuels dits mâles. De deux, parce que c’est quand même aberrant qu’on ne nous enseigne pas l’existence de parties aussi importantes de notre propre corps sous prétexte qu’elles ne nous sont pas facilement visibles”.
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