Depuis novembre 2018, d’anciens bâtiments de l’université de Bordeaux sont squattés par des sans abris. Dans le quartier, les riverains tirent la sonnette d’alarme et assurent que le sentiment d’insécurité se fait plus fort depuis leur arrivée. (…)
“En aucun cas on a pensé à recruter une équipe de voleurs pour cambrioler le voisinage”, se défend Mustafa, qui vient en aide aux démunis et s’occupe de l’accueil des migrants.
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Une technique de désinformation #padamalgam trop peu dénoncée c'est la transformation des "migrants" en simple "sans abris" pour faire passer la pilule ou quand ils commencent à mal se comporter pic.twitter.com/ieqqhKzMOe
— Pierre Sautarel (@FrDesouche) April 9, 2019