Son frère Mohamed Merah avait tué sept personnes, trois militaires, trois enfants et un enseignant juifs, en mars 2012 à Toulouse et Montauban.
Abdelkader #Merah, reconnu coupable de complicité d’assassinats terroristes et d’association de malfaiteurs terroriste, condamné en appel à 30 ans de réclusion criminelle assortie d’une période de sûreté des 2/3 par la Cour d’assises spécialement composée
— Jean-Charles Brisard (@JcBrisard) April 18, 2019
(…) Éric Dupond-Moretti n’a pas cherché à rendre son client sympathique : un « salafiste radical », un « adepte de la charia » : faut-il alors le juger selon les règles de l’Etat islamique ? « C’est cela dont vous rêvez pour lui, c’est cela dont vous rêvez pour nous ? », avait plaidé l’avocat.
En première instance, le frère du djihadiste toulousain avait été condamné à 20 ans de réclusion pour association de malfaiteurs terroriste, mais il avait été acquitté du chef de « complicité », la cour ayant estimé qu’aucun élément ne montrait qu’il « connaissait les objectifs visés et les crimes commis par son frère».