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L’intervention d’Alain Finkielkraut à Sciences Po ce mardi 23 avril, dans le cadre d’une conférence organisée par l’association Critique de la raison européenne, a subi les pressions d’un groupe “antiraciste”.

Après Eschyle et les fresques de l’Assemblée nationale, voici le tour d’Alain Finkielkraut. L’intellectuel était invité à Sciences Po Paris pour une conférence intitulée “Modernité, héritage et progrès” ce mardi 23 avril. Mais la venue de l’académicien, convié par Critique de la raison européenne, l’association souverainiste de Sciences Po, a provoqué l’ire d’un groupe de militants se réclamant de l'”antiracisme politique”, “Sciences Po en lutte – Institut Clément Méric”, qui a appelé lundi soir à un “rassemblement général” de protestation devant l’école. Annulée puis délocalisée dans une école de commerce voisine, la conférence a finalement été reprogrammée rue de l’Université sous haute protection policière. […]

Marianne

Le débat s’est finalement bien tenu, sous protection policière, ce que dénoncent aussi les étudiants dans leur communiqué. Alain Finkielkraut a traité les membres de la Fondation Clément-Méric de « fascistes » dans Marianne et aurait parlé de « pauvres merdes », devant les étudiants.

20 Minutes

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