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[…] Pour des raisons de sécurité, les églises catholiques sont fermées au Sri Lanka jusqu’à nouvel ordre. Certaines mosquées ont annulé les prières du vendredi et celles où elles ont eu lieu ont souvent accueilli une assemblée clairsemée, sous haute sécurité.
Les autorités sont sur la défensive depuis le massacre alors qu’elles disposaient d’informations préalables très précises. Le chef de la police et un haut responsable du ministère de la Défense ont déjà dû démissionner.
Le chef de file des catholiques du Sri Lanka, le cardinal Malcolm Ranjith, l’archevêque de Colombo, a dit s’être senti “trahi” en apprenant que le gouvernement n’avait pas pris en compte les avertissements.
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