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Le Président a assuré “le show” comme si la politique n’était que fiction, se montrant incapable d’être attentif au vécu de ses concitoyens. La performance d’Emmanuel Macron s’assimile davantage à une cure psychanalytique qu’à un programme présidentiel. De là à répondre à la question que certains se posent “Emmanuel Macron est-il malade ?” il n’y a qu’un pas…

I- Emmanuel Macron moins président qu’athlète de la langue française, réussit une performance parfaitement soignée et contrôlée.
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II- Emmanuel Macron en psychanalyse: notre Président souffre-t-il d’un narcissisme maladif ?
Voici les 5 principales dimensions psychanalytiques que j’aimerais développer: la présence de “mots-fétiches”, la sur-représentation des tournures syntaxiques “je veux”, “je souhaite”, l’absence de tournures empathiques, l’attention extrême portée aux questions journalistiques, l’absence de rationalité derrière la logique apparente.
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III – Emmanuel Macron est-il malade ? La symbolique inconsciente de l’allocution présidentielle
A la question Emmanuel Macron est-il malade ? Deux réponses semblent se dessiner.
(…) Le second plan relève davantage du niveau psychique. Emmanuel Macron ne montre-t-il pas des signes de troubles de la personnalité ? En mettant de côté les structures sociales et politiques qui favorisent l’émergence et l’élection de personnalités narcissiques, l’accumulation des 5 points précédents devrait sérieusement nous interroger. La dimension personnelle et l’aspect relationnel posent question. Outre un turn-over impressionnant dans les équipes des cabinets ministériels et chez les ministres eux-mêmes, l’incapacité à fédérer et à créer une certaine confiance n’est-elle pas un frein à l’action présidentielle ? Autrement dit, l’absence de qualités disons “managériales” n’entraîne-t-elle pas un coût financier et humain ?

Enfin, la faille narcissique d’Emmanuel Macron se lit à travers les images et le décorum choisi. Bien que parfaitement minimaliste, la décoration laisse échapper certains symboles pertinents. Les cercles dorés présents sur les murs de la salle viennent former une auréole autour de la tête présidentielle. Une “aura” qui accentue la dimension narcissique de “l’Elu”. Par ailleurs, cette forme est répétée dans l’ensemble de la pièce comme autant de portraits “vidés” d’une généalogie qui n’existent pas/plus.

(…) Huffingtonpost

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