Leur nombre oscillait encore autour de 100-150 fin janvier. Quatre mois plus tard, le nombre de ressortissants français liés à l’Etat islamique détenus par les Kurdes ou retenus dans des camps de réfugiés dans le nord-est de la Syrie a triplé, annonce le quai d’Orsay.
« Dans la zone du nord-est syrien, on considère qu’il y a à peu près 400 à 450 Français, certains dans des camps, d’autres prisonniers, dont des enfants », a déclaré mardi Jean-Yves Le Drian.