Le recrutement de Mohamed Salah à Liverpool est associé de façon causale à une baisse de 19% des crimes haineux dans la région.
Plus que sur les terrains de football, Mohamed Salah aurait, selon une étude publiée par l’Université de Stanton aux États-Unis, une influence bénéfique sur la ville de Liverpool et ses environs : une baisse notable de l’islamophobie comme le rapporte 90min.
L’international égyptien est musulman pratiquant et a récemment joué, tout comme Sadio Mané, la finale de Ligue des Champions en ayant jeûné pour le mois sacré du Ramadan. Et l’étude de Stanton met en lumière un “effet Salah” sur l’islamophobie. Elle affirme, entre autres, que depuis que le joueur foule la pelouse d’Anfield, les crimes anti-musulmans ont baissé de 19%, alors que les hashtags (#) islamophobes ont diminué de moitié parmi les supporters de Liverpool.