Après une tournée dans vingt-deux villes européennes, Bernard-Henri Lévy a joué à guichets fermés, deux soirs au Théâtre Antoine à Paris, la pièce qu’il a écrite contre le danger de la montée du populisme afin de sauvegarder l’Europe.
Seul en scène durant une heure et quarante minutes, dans un décor de Vincent Darré, il a ébloui les spectateurs par son texte brillant d’homme archicultivé, fin connaisseur de l’histoire et combattant infatigable. Une longue standing ovation salua la fin du spectacle que certains n’hésitèrent pas à qualifier d’exploit.
Parmi les invités qui se retrouvèrent pour le cocktail dans le foyer du théâtre, Ségolène Royal « époustouflée » ; Nathalie Loiseau, admirative ; Patrick Bruel, fan ; Patricia -d’Arenberg et Jean-Paul Enthoven qui voyaient le spectacle pour la troisième fois ; Maurice Lévy, l’ex-président de Publicis, et son petit-fils, Nicolas ; Marisa Berenson, ravie d’aller jouer « Berlin Kabarett », son succès parisien, au festival de Spolète ; Olivier et Christine Orban, dont le prochain livre sortira à la rentrée ; Michel Drucker et Claire Chazal, dithyrambiques ; l’ex-ministre Philippe Douste-Blazy, impressionné ; l’écrivain Pascal Bruckner, le créateur Alexis Mabille et son copain le réalisateur Etienne Chatiliez ; Anne Sinclair, subjuguée ; Marc Lambron et Delphine Marang Alexandre ; Bruno de Stabenrath, entouré de deux jolies filles ; Marie Saldmann, l’épouse du célèbre cardiologue et nutritionniste, et leur fille Manon ; Anne Hidalgo, accompagnée de Christophe Girard ; Chantal Thomass et son mari Michel Fabian ; Emmanuelle Seigner et Roman Polanski qui parla longuement avec BHL au milieu de la foule qui attendait pour congratuler le philosophe pour son incroyable performance. […]