Jasper Zwane, porte-parole de l’administration, a assuré que l’administration “tenait compte sérieusement de cet incident et a déjà lancé une enquête afin de comprendre les circonstances qui ont conduit à ce comportement“. Lundi, la province a proposé des services d’aide psychologique et l’école a également été incitée à déposer une plainte auprès de la police, a souligné Jasper Zwane.
Sur Twitter, certains internautes ont affiché leur sympathie pour l’enseignant, en rappelant les risques du travail. “Je ne serai jamais enseignant dans une école sud-africaine sans arme,” a écrit un utilisateur. “Je suis terrifiée par les armes mais je ne le blâme pas“, en a écrit une autre. “Être enseignant, c’est plus risqué que d’être policier.“