Les révélations sur les ventes d’armes de la France à l’Arabie Saoudite posent, une fois de plus, la question du rapport du pouvoir à la vérité et au secret. Non seulement, le gouvernement conteste l’utilisation de ces armes dans le conflit au Yémen, malgré les preuves apportées à ce sujet, mais on apprend que huit journalistes ont été convoqués à la DGSI pour leur couverture de ce conflit ou de l’affaire Benalla. Et le gouvernement d’assumer qu’il y a « des secrets que l’on doit protéger »…
Ah ça, Louis XI n’aurait pas dit mieux !
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