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«Que les choses soient claires, ceux qui sont suspectés d’avoir commis des crimes, quel que soit leur pays d’origine, doivent être jugés», a déclaré la Haut-Commissaire aux droits de l’homme avant de rappeler que les États avaient le devoir de respecter les droits des ex-combattants, de leurs femmes et de leurs enfants pour «protéger la société du risque de radicalisation et de violence dans le futur». […]

Jusqu’à présent, 29 000 enfants de combattants âgés de moins de 12 ans ont été recensés. «La principale considération doit être leur réadaptation. Les rendre apatride n’est pas une option envisageable», a mis en garde la Haut-Commissaire aux droits de l’homme, en dénonçant l’attitude de certains pays. «Infliger un tel traitement à des enfants qui ont déjà souffert l’innommable est d’une cruauté incroyable», a-t-elle ajouté.

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