“Nous avons anticipé qu’un effondrement général systémique et global du monde puisse avoir lieu, disons, vers les années 2025-2030“, explique l’ancien ministre. La maison est entourée d’un vaste point d’eau dans le cas où l’eau courante venait à manquer. Pour l’électricité, Yves Cochet a prévu une pompe à bras. “Le nucléaire sans pétrole, ça n’existe pas“, explique-t-il.
Concernant le transport, Yves Cochet est catégorique : la voiture n’existera plus et sera remplacée par le cheval. Internet ? Il n’existera plus également. Il sera donc indispensable d’apprendre à vivre avec le voisin, de faire preuve de solidarité. “Si on peut monter un écovillage de résilience, de résistance et d’entraide, eh bien, c’est très bien, c’est ce qu’il faut faire chacun là où on est“, précise-t-il.
Eléments de rétroperspective éclairant les enjeux
En 2009 déjà…