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Harcelées, insultées, pelotées: les femmes deviennent des proies faciles dans les piscines en plein air. Les auteurs de ces actes ? La grande majorité d’entre eux sont des migrants. Les maîtres-nageurs se plaignent : Depuis 2015, cela s’est intensifié.

Pendant longtemps, les politiciens et les médias n’ont pas voulu appeler le problème par son nom de peur d’être accusés de racisme. Mais cela ne fait qu’aggraver la situation. A présent, les maîtres-nageuses en parlent.

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Les femmes sont massivement harcelées par les migrants. Les maîtres-nageurs sont insultés. De plus, il y a une forte propension à la violence et un manque de respect ! Une piscine extérieure doit être un lieu de détente et non un lieu de terreur !”

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Jamais auparavant autant de piscines extérieures n’avaient sonné l’alarme dans toute l’Allemagne. La nouveauté : des groupes entiers de jeunes hommes harcèlent les filles et les femmes, cherchent à provoquer des émeutes avec d’autres hommes et parfois même frappent.

Selon les statistiques, la police de Rhénanie-du-Nord-Westphalie identifie les auteurs comme étant des “jeunes hommes d’origine nord-africaine, arabe et turque”. Heiko Müller, vice-président du syndicat de police de Rhénanie-du-Nord-Westphalie, met en garde : “Une société parallèle est en train d’émerger dans les piscines en plein air – si nous ne prenons pas enfin des mesures plus sévères contre la violation des règles”.

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De ce fait, les femmes et les familles évitent de plus en plus les piscines en plein air.

Spécifiquement les week-ends, elles quittent la zone par peur des agressions et en raison de l’atmosphère tendue. “Depuis 2015, il y a des problèmes dans nos piscines avec les jeunes migrants

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Lorsque Markus Schnapka, le chef du département des services sociaux de Bornheim près de Bonn, a imposé l’interdiction des piscines en 2016 après des expériences désastreuses avec les réfugiés masculins qui étaient devenus agressifs, des critiques dévastatrices se sont élevées (EMMA rapporté en février 2016). Markus Schnapka, qui travaille avec les migrants depuis 1977, a été accusé de “racisme” par le Conseil pour les réfugiés de Rhénanie-du-Nord-Westphalie et par l’Alliance “Bonn stellt sich quer”.

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Article du magazine EMMA. Consultable en français, dans son intégralité, sur Les Observateurs, d’où est issu cet extrait.


 

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