Depuis un mois, les nuisances, les incivilités et parfois la violence empoisonnent les nuits des riverains
Ce n’est pas la canicule que l’on craint le plus la nuit pour dormir dans le quartier du bas de la rue Maubec à Langon. C’est le tapage. Depuis un mois, les riverains n’en peuvent plus. L’exaspération est générale. Jusqu’à 2 heures ou même 3 heures du matin, des groupes de jeunes âgés d’une vingtaine d’années traînent, s’alcoolisent, parlent fort, remontent les ruelles à scooter…