Les sondés devaient évaluer à quel point ils (dés)approuvaient les deux affirmations suivantes: «Quand une femme trompe son conjoint, il a le droit de la frapper» et «L’homme est le chef de la famille et peut, au besoin, faire usage de la violence pour s’imposer». […]
Les chercheurs expliquent en outre avoir constaté un lien significatif entre la religion des sondés et leurs réponses au questionnaire. Ainsi, la proportion de jeunes hommes ayant approuvé les deux affirmations s’élève à un sondé sur cinq pour les musulmans et un sur quatorze pour les catholiques, contre un sur vingt pour les protestants et les non-croyants.
[…]Un jeune Suisse sur vingt a approuvé les deux affirmations ci-dessus, contre un sur cinq pour leur homologues originaires du Sri-Lanka, de Macédoine ou du Kosovo.
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