Sans protection et sans les moyens de lutter contre la grave crise d’insécurité, les agents désignent Ada Colau comme la seule responsable.
Quatre-vingt pour cent des criminels de Barcelone sont des étrangers. Cela se reflète dans les rapports internes traités par la Guardia Urbana et les Mossos. Ce n’est ni une accusation, ni une récrimination. Ce n’est pas un argument raciste. C’est simplement un fait. Un fait que ni Ada Colau ni la Consellería de Interior n’aiment et qu’ils cachent à la galerie. Pourquoi ? Parce que cela met sur la table le grand problème de sécurité que connaît la ville.
Le fait que huit criminels sur dix sont des étrangers est une réalité et c’est ainsi qu’Eugenio Zambrano, représentant de la Garde urbaine au CSIF, l’explique : “Cela n’a rien à voir avec le racisme, c’est une statistique et on l’ignore. Nous n’allons pas stigmatiser ou étiqueter qui que ce soit, mais c’est un fait que l’on ne peut nier à la société.
(MErci à Paul)