Des adolescents utilisent des codes frauduleux pour emprunter les vélos en libre-service sans payer. L’opérateur Smovengo a enfin décidé de mettre en place une série de mesures.
« Madame Hidalgo, nous subissons tous les jours les cavalcades en Vélib’ des jeunes de nos cités. Nous n’en pouvons plus des hurlements et des vélos cassés en bas de nos immeubles ! Que faire pour que cela cesse ? » Myriam, qui vit dans le quartier de Belleville (Paris XXe), est à bout de nerfs. Depuis deux mois environ, les habitants du nord-est de la capitale observent le même phénomène.
Extra ! Déja qu'il n y avait pas bcp de vélib dispo dans mon quartier de Belleville ! Maintenant ils sont privatisés par les jeunes du coin 24h/24. (ici en attendant la sortie du collège) pic.twitter.com/A1yD8YKaJy
— Be Gilles (@BeGilles) September 17, 2019