(Merci à Dobsky)
Désormais directrice d’une école de sciences politiques, l’ex-députée d’extrême-droite, Marion Maréchal a défendu “l’union des droites” et le refus du “grand remplacement”, lors d’une réunion avec ses partisans samedi à Paris.
L’ancienne députée d’extrême droite Marion Maréchal a invité ses partisans, réunis samedi à Paris, à relever cinq défis dont celui du “grand remplacement” des populations, et à “briser les barrières partisanes d’hier”, avant d’accéder au pouvoir.
“Le premier grand défi, le plus vital, est le grand remplacement, ce compte à rebours démographique, qui nous fait déjà entrevoir la possibilité de devenir minoritaire sur la terre de nos ancêtres, avec pour corollaire le grand ensauvagement d’une société multiculturelle qui se veut fracturée et violente”, a déclaré l’ancienne élue du Vaucluse.
Le “grand remplacement” est une thèse complotiste et controversée d’un remplacement supposé de la population européenne et chrétienne par une population immigrée et musulmane. La petite-fille de l’ancien président du Front national (devenu Rassemblement national) Jean-Marie Le Pen a aussi défendu l’écologie qui est pour elle “un conservatisme” et “un combat identitaire”.