La Cimade et le Secours catholique demandaient la mise à l’abri des huit cents migrants du gymnase Jeanne-Bernard à Saint-Herblain. Ils n’ont pas obtenu gain de cause. Mais le tribunal administratif a considéré que l’État devait considérablement améliorer les conditions de vie des migrants. (…)
L’État devra, dans un délai de quinze jours, installer les équipements permettant un accès à l’eau potable, pour pouvoir boire, se laver et nettoyer son linge. (…)
Enfin, dans cette même période, le préfet doit remettre le site et ses abords dans un état de salubrité compatible avec la présence des migrants.(…)