Suite à votre questionnement concernant cette école je vérifie dans les limites de ma compétence et je fais le nécessaire en vous tenant au courant ….
— Brigitte MARSIGNY (@B_Marsigny) October 1, 2019
Une dernière mise au point : il ne s'agit pas de " mon école coranique " … J'ai découvert par vos tweets. En regardant votre document il s'agirait de l'occupation d'un bureau. Je répète que ce n'est pas de mon ressort et je n'ai été saisie d'aucune demande d'ERP.
— Brigitte MARSIGNY (@B_Marsigny) October 2, 2019
Suite : en revanche j'ai fait ce que j'avais à faire… Merci aux lanceurs d'alerte mais pas de récupération … Bonne journée .
— Brigitte MARSIGNY (@B_Marsigny) October 2, 2019
Le 10 janvier 2015, trois jours après l’attentat contre Charlie Hebdo, Béchir Ben Hassen déclarait ainsi dans un prêche filmé : “La punition pour quiconque blasphème le nom du prophète Mohamet, c’est la mort. Il doit être exécuté. Cette condamnation à mort est mentionnée dans de nombreux versets du Coran, par la sunna (la loi islamique, NDLR) et par l’avis de nombreux sages du passé.”
[…]
Malgré l’appui de dignitaires du parti islamiste Ennahda et sa proximité avec l’ancien président Moncef Marzouki, Béchir Ben Hassen a d’ailleurs, lui-même, fini par être écarté de sa mosquée de Msaken, dans le nord-est de la Tunisie, en juillet dernier. “Son limogeage a été décidé par l’ancien ministre des Affaires religieuses Noureddine Khademi, réputé lui-même être un imam extrémiste”, nuance une source tunisienne.
Cette décision, prise le 1er juin 2013, trouverait sa source dans les “absences répétées de Béchir Ben Hassen de son poste”. Absences justifiées à l’époque par son… incarcération en France. Arrêté le 28 mai 2013 à l’aéroport de Casablanca, à la suite de l’émission d’un mandat d’arrêt international, Béchir Ben Hassen a effectivement purgé une peine de prison pour avoir enlevé ses enfants à leur mère (de nationalité française) après une procédure de divorce houleuse. Il a été libéré en février 2014 et a repris ses fonctions d’imam à cette date, tout en poursuivant une activité parallèle de voyagiste, organisant des pèlerinages vers La Mecque, via une agence française.
Cet épisode judiciaire comme les propos qu’il a tenus après les attentats de janvier 2015 n’empêchent pas Béchir Ben Hassen de proposer de nombreux cycles de conférences à travers la France. C’est ainsi qu’il a été reçu dans au moins deux lieux de culte musulmans à Montreuil (93) et à Bussy-Saint-Georges (77) au printemps dernier.
LePoint (article publié le 27/11/2015)
Le programme du «centre de culture humaine» :
Cagnotte CotizUp pour l’agrandissement des locaux :
Inscription d’enfants dès 6 ans :