Quand elle se retrouve au milieu de nombreuses personnes, sa propre célébrité lui pèse rapidement. Rackete ne peut pas souffrir les grandes villes, dans une foule elle ne se sent pas bien, surtout quand les gens hurlent de façon hystérique ou demandent des selfies. “À Berlin, ça pue”, dit-elle, “l’air y est à vomir.”
Rackete n’a pas de domicile fixe, elle habite tantôt ici, tantôt là. À plus long terme, elle n’a pas du tout l’intention de vivre en Allemagne, dit-elle, trop de gens sur un territoire trop exigu. Le Chili ou le Kazakhstan lui plairaient davantage. […]
(Traduction Fdesouche)