En bref
- Doublement du volume horaire des cours de français (de 200 à 400 heures) pour les étrangers primo-arrivants
Doublement de la durée de la formation civique - « L’immigration zéro n’a jamais existé dans le passé et on l’imagine encore moins dans un monde ouvert et hyperconnecté »
- « Immigration de remplacement, vocable d’une laideur certaine, qui fait appel aux ressorts les plus détestables du complotisme »
- « La fin du droit du sol (30 000 personnes chaque année) ne serait pas une réponse aux questions migratoires qui se posent à nous »
- Sur la naturalisation par décret, (60 000 personnes par an environ) le gouvernement pourrait se pencher sur les « critères que nous nous donnons pour vérifier le niveau de langue française des candidats ». « Je pense qu’il faut relever ce niveau »
- « Je n’ai pas peur de réfléchir à l’idée de quotas » en matière migratoire
- « Les quotas ne peuvent pas s’appliquer à l’asile ni à l’immigration familiale »