Dans l’exposition Al Ula, Merveilles d’Arabie, qui a ouvert ses portes mardi, l’État hébreu n’apparaît pas «par souci de clarté», explique l’IMA.
(…) Comment une institution publique, financée par le Quai d’Orsay, a-t-elle pu réécrire la carte du monde contemporain? Il est de notoriété publique que l’Arabie saoudite, en dépit de discrets contacts diplomatiques avec Israël, ne reconnaît pas l’État hébreu. Le pays ayant financé l’exposition Merveilles d’Arabie, l’IMA aurait-il cédé à la vision du monde de son mécène?