De grands débats sur l’islam radical mais aussi sur « toutes les formes de radicalisation », gratuits et ouverts à tous, seront organisés par l’université parisienne.
Le président de l’université Paris 1 Panthéon Sorbonne est en colère. Georges Haddad n’a pas vu d’un très bon œil les critiques qui lui ont été adressées après que son université a dû mettre un terme, sous la pression des syndicats d’étudiants et d’enseignants, à une série de conférences de l’écrivain Mohamed Sifaoui sur «la détection des signaux faibles» de radicalisation.