Ankara a affirmé samedi 2 novembre qu’elle ne garderait pas « jusqu’à la fin des temps » les prisonniers étrangers du groupe Etat islamique en Syrie.
Le ministre turc a en outre accusé plusieurs pays européens, comme les Pays-Bas et la Grande-Bretagne, de déchoir certains de leurs ressortissants de leur nationalité pour empêcher Ankara de les expulser. « Ils ont trouvé une solution facile (…) Ils disent: ‘Je l’ai déchu de sa nationalité, débrouillez-vous’. C’est inacceptable de notre point de vue. C’est totalement irresponsable ».