Le grand frère revenait d’Algérie à l’époque. Il n’était au courant de rien, n’ayant plus de contacts avec sa famille depuis des années. Lorsqu’il apprend ce que son petit frère a fait, il ne peut y croire. Il lance alors sa propre enquête, demande aux amis de son cadet de dresser des attestations de bonne morale du mis en cause et approche l’entourage de la victime, puis la victime elle-même, afin d’obtenir un retrait de la plainte.
[…]Il voulait leur prouver qu’elle était une « fille facile », aux mœurs légères.
[…]L’actualité de la semaine à Besançon :