Vox en tête également à Ceuta, ville à la frontière marocaine soumise à une forte pression migratoire. Vox ravit ainsi au parti socialiste le seul poste de député de cette circonscription. https://t.co/8T2mVe1LDs
— Droite nationale (@droitenationale) November 10, 2019
Vox en tête de tous les partis dans la région de Murcie (en vert sur la carte). https://t.co/x6M6R4ctGj
— Droite nationale (@droitenationale) November 10, 2019
🇪🇸🗳️ #Espagne – Résultats sur 97,9% des bulletins dépouillés :
PSOE 28%, 120 élus
PP 20,8%, 88 élus
Vox 15,1%, 52 élus
UP 12,9%, 35 élus
Cs 6,8%, 10 élus
MP 2,4%, 3 élus pic.twitter.com/QROHvzgccC— mathieu gallard (@mathieugallard) November 10, 2019
🇪🇸🗳️ L’évolution du score de l’extrême-droite aux élections législatives en #Espagne depuis la fin du franquisme. pic.twitter.com/1uedDTIewR
— mathieu gallard (@mathieugallard) November 10, 2019
Les socialistes en tête, bond de l’extrême droite
Le PSOE progresse légèrement, de 123 à 124 sièges, les conservateurs du Parti Populaire remontent de 66 à 83 sièges, et Vox passe de 24 à 52 sièges, devançant la gauche radicale Podemos, qui descend de 42 à 35 sièges.
Selon ces premiers résultats, lle bloc de gauche (PSOE, gauche radicale de Podemos et sa liste dissidente Mas Pais), autour de 160 sièges, n’atteindrait pas la majorité absolue de 176 sièges sur 350.
Pedro Sanchez (PS) a tenté de mobiliser l’électorat de gauche contre la montée de Vox, qu’il présente comme un retour du franquisme. « L’Espagne a besoin d’un gouvernement progressiste, pour tenir tête au franquisme, aux extrémistes et aux radicaux », a-t-il répété sans relâche. Dans un quartier de Madrid, où Vox a instrumentalisé le malaise d’une partie de la population vis-à-vis d’un centre accueillant de jeunes migrants, David Barcelo, ingénieur de 25 ans, dénonçait le fait que « Vox dit juste ce que les gens ont envie d’entendre, en utilisant des données fausses ».