[…] Cette habitante n’est pas la seule. Près de la gare RER, les habitants qui reviennent du travail marchent à tâtons, obligés de s’éclairer au téléphone pour rentrer chez eux. Et une fois qu’ils y sont, ils y restent car à la tombée de la nuit, le trafic de drogue commence. L’enjeu pour les dealers, c’est de maintenir cette obscurité pour opérer tranquillement. A chaque fois que l’éclairage a été réparé, il a été cassé à nouveau. Des techniciens en intervention se sont même fait agresser. Depuis, le prestataire ne veut plus intervenir.
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