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[…] Si pour certaines comme Tarya, la Camerounaise, cet atelier initié par l’association Du pain & des roses, est d’abord un loisir, pour d’autres, il s’agit d’un tremplin vers un avenir professionnel. Ami, par exemple, ne cache pas ses ambitions. “J’ai envie être fleuriste depuis toute petite. Dans mon pays, je voyais plein de fleurs pendant les cérémonies et les mariages. Mais je n’ai pas eu la chance de pouvoir me former à ce métier là-bas“, affirme-t-elle.

Pour saluer leur investissement, les participantes se reverront remettre, au terme de sept semaines d’apprentissage, un certificat de formation. Ce diplôme non reconnu par l’État est avant tout symbolique : il sert à pousser ces femmes à croire en elles. “Nous ne souhaitons pas simplement animer des ateliers et ensuite disparaître de leurs vies. Nous ne voulons pas nous arrêter là”, explique Marie Reverchon, la directrice de l’association.

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