01/12/2019
30/11/2019
29/11/2019
Je démens l’interprétation qui est faite de mes propos. Le Gouvernement a justement proposé un diagnostic et une stratégie ambitieuse pour la politique migratoire de la France et de l’Europe. pic.twitter.com/CO5EEglvXj
— Jean-Paul Delevoye (@delevoye) November 29, 2019
Il déplore un «climat malsain» sur l’immigration, nécessaire selon lui au futur équilibre des retraites.
Delevoye à Créteil : « On aura besoin de 50 millions d’étrangers pour équilibrer le système au niveau européen. Il y a plus un politique qui ose parler d’immigration. On cherche à jeter en bouc émissaire le juif hier, le musulman auj. Il faut combattre ce climat malsain » pic.twitter.com/HxaomKKG8D
— Marcelo Wesfreid (@mwesfreid) November 29, 2019
À quelques jours d’une mobilisation sociale, cette sortie risque d’électriser un peu plus le climat général. (…) Vendredi matin, au cours d’un échange avec 80 jeunes à Créteil, au siège de la Fédération nationale de handball, le haut-commissaire aux Retraites, Jean-Paul Delevoye, qui était accompagné du secrétaire d’État à la Jeunesse Gabriel Attal, a fait entendre sa différence sur la politique migratoire. «Je suis très frappé par la réaction des peuples européens, puisque la démographie européenne et son vieillissement font que si on veut garder le même nombre d’actifs dans la machine économique (…), il faudra 50 millions de population “étrangère” pour équilibrer la population active en 2050, en Europe», a expliqué l’ancien président du Conseil économique social et environnemental, après une digression sur la situation en Allemagne, pays où la pyramide
Lui qui a tout de l’ancien monde séduit le nouveau. Le Haut-commissaire aux retraites, Jean-Paul Delevoye, est l’un des rares à faire l’unanimité auprès de la majorité, qui voit dans cet homme de 72 ans une sorte de « parrain ».
Jean-Paul Delevoye est successivement membre du RPR, de l’UMP et de La République en marche.