« Ici on peut voir des personnages noirs, africains, alors que dans les bandes dessinées que je lisais ce sont des personnages français », une fausse dichotomie qui s’apprend depuis le plus jeune âge, Cora, 11 ans, fait déjà la confusion entre origine et nationalité.
Le 7e salon du livre afro-caribéen se battait aussi contre ça, en proposant aux jeunes venus explorer ses étals de découvrir d’autres héros que Superman et Spider-Man. Au centre des contes cette fois: des héros noirs, africains, caribéens, représentatifs des origines de beaucoup de Français. Les auteurs de toutes ces œuvres ont malheureusement le même problème, ils peinent à trouver des éditeurs puissants dans le monde de la littérature.
