Depuis la fermeture de la frontière entre la France et l’Italie, la vallée de la Roya est devenue le symbole de l’insoumission. Les migrants bloqués à Vintimille continue de passer en déjouant la frontière, et certains habitants de la vallée les aident malgré l’interdiction. Dans cette enclave où des migrants de retrouvent bloqués dans l’espoir d’atteindre un avenir meilleur, la solidarité des habitants devient un acte de résistance.
Vous pouvez aussi aimer
Le réalisateur Abdellatif Kechiche visé par une plainte pour agression sexuelle
Le parquet de Paris a ouvert une enquête du chef d’agression sexuelle à l’encontre du réalisateur Abdellatif Kechiche. L’intéressé dément catégoriquement. Ces investigations font suite à la plainte déposée...
Tranche de vie de migrants en Allemagne : “Nique ta mère”
Des migrants “remercient” les animateurs sociaux et les agents de sécurité qui les accueillent.
(Merci à Alpine)
Clermont-Ferrand : les juges laissent libre un étranger “au doux visage et à l’allure timide” soupçonné de viol aggravé
Un étudiant soupçonné de viol sur une jeune femme, à Clermont-Ferrand Ce jeune homme de 23 ans aurait imposé des actes sexuels, par la violence, à une Puydômoise rencontrée sur internet. Il a été placé sous contrôle...
Les États-Unis mettent en garde leurs citoyens contre l’augmentation des agressions sexuelles en Espagne, après le viol de 3 Américaines par 3 Afghans
L’ambassade des États-Unis à Madrid a lancé une “alerte sécurité” afin d’avertir les voyageurs américains en visite en Espagne. “L’ambassade et le consulat général des États-Unis...
Essen (Allemagne) : des centaines de migrants attaquent une Marche des zombies organisée pour Halloween
Essen (Allemagne) : des centaines de migrants attaquent une Marche des zombies organisée pour Halloween pic.twitter.com/FrmNw3Tqjp
— Pierre Sautarel (@FrDesouche) 2 novembre 2017
Nantes: les riverains d’un gymnase qui héberge des migrants, sont “à bout”
Les riverains du gymnase Jeanne-Bernard, occupé depuis fin octobre par 200 à 300 migrants, n’en peuvent plus. Ils craignent pour leur sécurité et celle des occupants, et ne cachent pas leur colère contre l’État. […] «...