Sur l’île grecque de Samos, des réfugiés s’entassent dans des bidonvilles insalubres
Une allocation de 90 euros par mois pour les adultes et 50 euros pour les enfants permet à ces migrants d’acheter quelques produits de première nécessité au bazar de la ville.
Un homme explique que le camp est désormais devenu “une ville dans la ville”. D’après lui, la situation a changé au fil des années: »En 2015, les Grecs étaient très solidaires pendant la crise syrienne, ils voulaient toujours aider. Maintenant, les choses ont changé. C’est un autre type de population, des Africains et des personnes d’autres nationalités qui ne viennent pas des zones de guerre».