Déjà condamné pour viol et fiché S, un quadragénaire condamné à trois ans de prison ferme pour agression sexuelle à Saint-Quentin
Même s’il nie les faits, un Saint-Quentinois de 40 ans au casier judiciaire très épais a été reconnu coupable d’avoir agressé une jeune femme à deux reprises sous la menace d’un couteau. Il a été jugé en comparution immédiate et envoyé en prison, ce 20 décembre.
On ne juge pas un homme sur sa personnalité, mais quand on s’appelle Miguel Bahi et qu’on comparait pour agressions sexuelles, ce paramètre pèse un peu plus lourd dans la balance judiciaire.
[…]14 mars 2018
Oise : violée et séquestrée pendant toute une nuit à Noyon
Des peines de 3 et 4 ans de prison ont été prononcées à l’encontre de trois Noyonnais qui avaient organisé la séquestration de la victime, en 2014, dans le quartier Beauséjour.
Enlèvement, séquestration, extorsion en bande organisée, agression sexuelle… Les faits reprochés aux prévenus, mardi, devant le tribunal correctionnel de Compiègne, auraient pu relever de la cour d’assises. C’est en tout cas le sentiment de la substitut du procureur, Nathalie Moenet, qui évoque « une requalification d’opportunité » pour désengorger la juridiction départementale.
Présents à l’audience, Miguel Bahi et Astrid Darius ont été respectivement condamnés à des peines de 4 et 3 ans de prison ferme avec mandat de dépôt. Georges-Edouard Aristilde, à l’encontre de qui un mandat d’arrêt a été décerné, a écopé d’une peine de 4 ans d’emprisonnement.
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2 octobre 2001
Quinze ans de réclusion pour le violeur
Les jurés de la cour d’assises de Beauvais se sont montrés impitoyables envers Miguel Bahi, 21 ans, un Noyonnais qui comparaissait hier à huis clos pour le viol d’une étudiante compiégnoise perpétré le 27 janvier 1999 à Margny-lès-Compiègne sous la menace d’un couteau. Après plus de deux heures et demie de délibéré, ils lui ont infligé 15 ans de prison ferme comme l’avait réclamé le représentant du parquet au cours de son réquisitoire. Son casier judiciaire déjà « riche » de cinq condamnations n’a pas plaidé en sa faveur.
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