Le Jockey-Club avait été décrit comme interdit aux femmes dans un reportage télévisé. Pour « rétablir l’honneur » du patron, l’humoriste avait investi et fait sa pub. Avant de quitter l’affaire en catimini.
Un buzz et puis s’en va. Yassine Belattar, humoriste impliqué sur les questions de banlieue, proche d’Emmanuel Macron, n’est plus actionnaire du Jockey-Club.L’homme a quitté le deal financier qui le liait à ce café de Sevran, lequel avait fait la Une de l’actualité, suspecté d’être anti-femmes et noyauté par des islamistes (…)
Las : début 2019, Yassine Belattar a donc quitté, tout en discrétion mais à l’amiable, le deal financier qui le rattachait au Jockey-Club. Entre-temps, aucune des annonces faîtes lors de la médiatique inauguration n’a vu le jour : aucun spectacle n’a été joué dans le bar, et l’espace restauration n’a pas été concrétisé. «Ça a fait pschitt», résume un proche d’Amar Salhi, lequel refuse de commenter officiellement l’information, mais la confirme.