L’agression s’est produite sur fond de relation amoureuse désapprouvée par la famille.
[…]quatre ans de prison dont trois ans ferme pour Abdelhakim Belmardi, 24 ans et 6 condamnations ; deux ans dont un an ferme pour son cadet Tarek, 21 ans, casier vierge.
[…]Depuis septembre 2018, Abdelhakim entretenait avec la jeune fille, étudiante de 21 ans, une relation amoureuse désapprouvée par sa famille en raison d’une jalousie possessionnelle. « Il me disait “Tu m’appartiens” », a confié la demoiselle aux enquêteurs. « Il ne voulait plus que je sorte, que je voie mes copines. Il me faisait des reproches quand je m’habillais trop court. » Il l’insultait de « pute », de « salope » et fut révolté d’apprendre – après espionnage de ses anciens messages sur les réseaux sociaux – qu’elle avait aimé un autre garçon avant lui.
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