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Le pire, c’est qu’à force de ne pas agir et de fermer les yeux, certains individus dans les quartiers gangrenés par l’islamisme finissent par protéger ouvertement les radicalisés. On le constate à Metz où un certain nombre de jeunes et d’habitants, enivrés par leur toute-puissance, la haine du policier et le sentiment de victimisation, s’en prennent aux forces de loi et les traitent d’assassins, alors que ces derniers n’ont fait que leur travail. Peut-être parce qu’ils pensent que les radicalisés font le tri dans les victimes et que le tueur de proximité veillant soigneusement à ne pas tuer les musulmans, quand celui de masse ne fait pas dans le détail, il mérite la protection du groupe.
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